« Quelques dizaines de mètres de forêt suffisent pour abolir le monde extérieur, un univers fait place à un autre, moins complaisant à la vue, mais où l’ouïe et l’odorat, ces sens plus proches de l’âme, trouvent leur compte. Des biens qu’on croyait disparus renaissent : le silence, la fraîcheur et la paix. », Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques, Plon, 1955.

Queules : restes d’anciennes « pléchies ». Lire la suite

en forêt de Breuil-Chenue.

La forêt, l’été : une lumière de cathédrale.